Tokio Hotel
Murmurer, chanter, crier, hurler, beugler, se dézinguer les cordes vocales.
Et finalement
Briser une vitre.
So much fun
Ce week-end, direction “les contrées joyeuses”.
Tellement de paysage idylliques et chatoyants au programme!
En attendant je vais remettre des gants parce que “aglagla”
La fenêtre
Voir au loin, plus loin que l’horizon, voyons voir si j’y suis.
Si c’était si facile.
Vue sur Detroit, à travers la fenêtre.
L’orgue du diable
Concerto avec le diable, l’organiste est attendu
Les gradins sont minimalistes, la fosse gigantesque.
à quelques minutes de Manhattan
Anderlues, les restes d’une Cokerie
Anderlues Cockerill.
Les vestiges de cette énorme usine luttent contre l’oubli. La chaleur implacable nous pesait, pourtant depuis deux ans déjà les fours étaient éteint à jamais. Les ouvriers avaient laissé place aux machines de destruction qui ont elles même laissé place à l’abandon. Le travail à moitié terminé. Une partie de l’usine rasée, l’autre laissée en friche. Oubliée
Formalisme
Comme quoi, même il y’a 3 ans j’étais déjà capable d’un peu de formalisme.
Paysage irréel d’une Cokerie belge en cours de démolition.
Juste avant le FBI
Oui c’est un titre idiot mais ça me fait rire…. et quelques initiés. 😉
Le Coal Breaker dans la nuit. Vieille carcasse usée et délaissée.
Bientôt du nouveau
Bientôt Anderlues,
Ce vestige, visitée en pleine agonie, la Cockerie d’Anderlues m’aura livré quelques secrets.
C’était il y’a 3 ans, bientôt les images sortiront du petit coffre.
C’est chouette l’Italie
Ces villas, ces usines…
La lumière, l’atmosphère, le respect de la pierre.
Tellement particulier.
De retour de mes petites vacances, le plein d’images, la découverte de nouveaux paysages, des lieux abandonnés, décors insolites, villages fantômes. Une facette méconnue de ce pays que l’on croit pourtant si bien connaître.
Ich bin ein Berliner
Je garde de très bons souvenirs de ce petit week-end Allemand il y’a un mois, la découverte d’une contrée si proche et si lointaine à la fois.
A trois reprises ces derniers jours j’ai été confronté au souvenir de la chute de ce mur de la honte. C’est sans doute l’élément historique qui m’a le plus marqué depuis que je vis sur cette planète. La chute du mur a permis de rendre la liberté
à des dizaines de millions de voisins. C’est le souvenir historique qui me touche le plus, la fin du bloc communiste, de la guerre froide, qui, quoi qu’on en dise, était une situation bien plus périlleuse que les tensions mondiales actuelles. J’aimerai bien retourner du coté de l’Allemagne de l’est.
Sinon dans 10 jours c’est les vacances. A nous l’Italie! 🙂