Trouble
Lorsque l’on devient sujet d’inspiration, le trouble se fait sentir.
Lorsque le trouble s’installe, l’inspiration fait son apparition.
La source du délit : nuit de noces
Lorsque l’on devient sujet d’inspiration, le trouble se fait sentir.
Lorsque le trouble s’installe, l’inspiration fait son apparition.
La source du délit : nuit de noces
La descente aux enfers.
Mort de trouille, avec cette pluie glacée qui vous colle à la peau.
Gerbe blanchâtre et pâteuse telle un foutre synthétique.
Le bruit du verre pilé, tel un parterre de céréales à écraser.
La rampe froide, le rayon de soleil qui filtre à travers la verrière.
Cette odeur, mélange d’huile, poussière et amiante…
Teint diaphane, fragile comme un flocon de neige.
Pigment malicieux, du pourpre au vermillon.
Un dernier instant savoureux.
Un miroir où l’on peut se pencher, un plongeon vers un passé trop vite tourné.
Une envie comme gourmandise.
Un miroir sans teint.
Prise de vue du jour.
Ces mots je les attends, comme des caresses.
Tes doigts n’effleurent que l’air, ma chair se tend.
Un regard.
Comme un instant que l’on voudrai figé mais ce mur est là. Tu ne bouges pas. La vitre glacée entre nous.
Je hurle mais tu ne te retournes pas.
Je les voudrais tant, je les désire, mais tu ne les prononces pas, ces mots.
Prise de vue du jour.
Il agonise, le paquebot sombre.
Tôle hurlante, masse dégoulinante, assaillie de toute part.
Prise de vue du jour.
Petit Week End actif.
Beaucoup d’échanges samedi avec des rencontres photographiques et des moments très sympa entre amis. Dimanche petit voyage en contrée lointaine francilienne; comme c’est la joie les tickets de RER à 7€50 8( Un centre hospitalier à l’abandon, trop peu de temps pour en couvrir la totalité. J’y retournerai surement d’ici peu, peut être même avec modèle, histoire d’étrenner mes flashs 8)
Auto-portrait postume
Prise de vue du jour.